Notre identité
Au cercle des aikidoka foyens, nous pratiquons de l’Aïkido, art martial qui a été fondé au début du 20ème siècle par Ueshiba Morihei.
Issu à l’origine du Daito Ryu, l’Aïkido est avant tout un enseignement de paix, que nous pratiquons sous une forme contemporaine et ancrée dans ses racines, tel que nous l’enseigne le groupe Aikinomichi Emmendingen.
La pratique concerne l’apprentissage technique des mouvements ainsi que l’entraînement d’une attitude intérieure de paix, de coopération mais aussi d’affirmation de soi.
Depuis sa fondation en 1982, notre pratique de l’Aïkido a profondément évolué, et continue de le faire.
Aujourd’hui, des personnes d’origines, de langues, d’âges et d’expériences d’Aïkido différents peuvent se retrouver au Dojo du cercle pour s’entraîner ensemble.
Nous pratiquons un aïkido tel qu’enseigné par l’Aïkikaï, centre mondial de l’Aïkido, adapté à la vie moderne de notre époque.
Nous avons été, et sommes inspirés par des enseignants importants : Guillaume Erard shihan, Christian Tissier Shihan, Odilon Regnard sensei, Fabrice Croisé sensei et Philippe Goutard shihan. Bien sûr, il y a aussi un échange intensif avec d’autres groupes d’Aïkido en France comme en Allemagne, notamment avec le Dojo de Odilon Regnard Sensei. En plus des différentes interprétations de l’Aïkido, on retrouve des influences et des inspirations des arts martiaux : Daito Ryu, en particulier l’école de Shikoku, et le Sumo.
L’aïkido repose sur des qualités accessibles à toutes et à tous : empathie, bienveillance, détente et coordination de positions naturelles. Il vise à permettre à chacun de développer ses capacités personnelles afin de surmonter les situations d’agression sans les subir ni les alimenter.
Pour permettre aux pratiquants d’accéder pleinement à cet idéal, le système même de pratique a été choisi pour les y sensibiliser à tout instant de leur progression. Chaque assaut se fait le lieu d’une rencontre et valorise la complémentarité d’un partenariat pour l’étude, plutôt que celui d’une opposition entre, à terme, ni vainqueur et ni vaincu. Les pratiquants endossent alternativement le rôle d’attaquant et de défenseur ; « l’assaillant » propose une situation que les acquis doivent permettre de résoudre en préservant l’intégrité physique et morale de chacun à travers les ukemi.
Ainsi l’aïkido exclut-il intrinsèquement l’idée de compétition.
Une fois les mouvements fondamentaux assimilés, cette étude peut atteindre rapidement une dimension athlétique. Plus le niveau technique des pratiquants en présence est élevé, moins les rôles sont prédéterminés… et naturellement, l’émulation est présente. Mais le critère de virtuosité fondamental, qui est la qualité de relation que l’on établit avec les autres sans transiger avec la dimension martiale, doit orienter cette émulation vers un enthousiasme bienveillant plus que vers une concurrence acharnée.
Dans ce contexte, la diversité (de genre, d’âge, de morphologie, de psychologie, etc.) entre les pratiquants, qui élargit le champ d’expérience accessible dans la mesure où elle multiplie les situations d’étude, est fondamentale pour la progression.
Celle-ci est validée par des grades obtenus lors d’examens formels. De la ceinture blanche (6ème kyu) à la ceinture marron (1er kyu) qui précède les ceintures noires, ces examens sont validés par le professeur accompagné ou non d’un collège de gradés du club.
Au plaisir de vous retrouver sur les tatamis…
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